Wednesday, January 29, 2014

Aimez-vous Parler en Public ?



Connaissez-vous le plaisir de parler en public ? La Vie Positive, qui veut vous faire partager tout ce qui est positif, tout ce qui peut être bon et agréable dans votre vie, se doit d’aborder ce sujet de la prise de parole en public.

En effet, parler en public peut vous procurer un plaisir comme vous ne l’imaginez pas. Et, ce qui est formidable, c’est que, si vous éprouvez du plaisir, votre auditoire va éprouver lui aussi du plaisir. Il faut l’avoir vécu pour comprendre le phénomène.

Plutôt la peur que le plaisir

Comment peut-on éprouver du plaisir dans une telle circonstance ? Ca peut paraître paradoxal a priori. L’idée même de prendre la parole devant un public est plutôt génératrice de stress, de peur. On a peur de se tromper, de bafouiller, d’être ridicule.

Une anecdote qui m’a marqué

Je vais vous raconter une anecdote qui m’a beaucoup marqué dans ma vie.

Le 3 octobre 1980, je présente ma thèse de doctorat ès-sciences. J’ai beaucoup répété auparavant mon exposé, plusieurs fois devant des collègues qui me donnent leurs avis, me permettant de l’améliorer et de l’enrichir un peu plus à chaque fois.

Et le jour J, malgré une forte appréhension avant de commencer à parler, malgré un petit trou de mémoire passager en cours de route, je ne m’en sors pas trop mal car je maîtrise suffisamment mon sujet. Ca se passe bien, sans plus. Disons que j’ai rempli mon contrat. Et je suis fier d’obtenir ce diplôme qui m’ouvre la porte d’un métier de chercheur.

S’ouvre ensuite une période où je dois présenter mes travaux dans des congrès spécialisés, et ce devant un public beaucoup plus nombreux que pour ma soutenance de thèse, et complètement inconnu.

Particulièrement stressé

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Comment travailler en équipe?



Certes l'union fait la force mais travailler en équipe n'est pas toujours une sinécure… il faut savoir composer avec le choc des égos ou des ambitions, les oppositions de styles et de caractères, les intérêts contradictoires, bref la nature humaine. L'enfer pourtant, ce n'est pas forcément les autres. En observant 10 règles de bon sens, on peut travailler en équipe dans un bon esprit et sans (trop) de stress. Pour une dynamique de groupe, en avant la musique…
 
1/ Connaître sa partition

Le travail d'équipe, c'est un peu comme faire partie d'un orchestre : il faut que chacun connaisse sa place et joue sa partition. Que vous postuliez à un premier job ou que vous soyez promu "acteur incontournable" d'un nouveau projet stratégique, la première règle pour éviter les malentendus est donc de définir clairement le périmètre de votre fonction ou de votre mission, bref ce que l'on attend précisément de vous. Vous connaissez la musique ? Parfait mais ne bridez pas pour autant votre créativité. La prise d'initiatives est toujours appréciée !

2/ Trouver la mesure Dilemme :

faut-il imposer vos idées ou faire adhérer vos collègues à votre projet ? A vous de trouver la juste mesure en usant de toutes vos compétences professionnelles, de votre engagement, ou mieux de votre talent : apporter des idées, être créatif, prendre des initiatives, faire partager votre motivation. Personne ne vous reprochera d'être passionné et de défendre vos idées. Attention toutefois à ne pas en faire trop ! Rien n'est plus irritant pour vos collègues que quelqu'un qui les étouffe ou empiète sur leur espace vital. Même si parfois, c'est difficile, il faut savoir rester à sa place !

3/ Etre sur la même longueur d'onde

Quelques règles de savoir vivre suffisent parfois pour cimenter un groupe, favoriser la cohésion, se stimuler l'un l'autre. 

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Favoriser le travail en équipe, c'est possible ! C'est au manager d'instaurer un esprit de coopération véritable et durable dans l'équipe. Voici un processus en cinq étapes qui a fait ses preuves.
  
Quand tout va bien, assister ses collègues est un geste naturel. Mais dès que l'activité baisse et que l'ambiance se détériore, les gens se replient sur eux. Exit les coups de pouce, les renvois d'ascenseur, c'est chacun pour soi. La solidarité est rarement spontanée. Or c'est bien le rôle du manager d'instaurer un esprit de coopération véritable et durable dans l'équipe. Pour y parvenir, il a intérêt à s'appuyer sur les aidants et à se focaliser sur les égocentrés peu prompts à seconder leur prochain. Voici un processus en cinq étapes qui a fait ses preuves.

1. Lever les résistances

Les non-aidants tracent leur route. Ceux qui ont des points faibles pataugent en silence de peur d'être stigmatisés ou d'être jugés " nuls ". Il s'agit donc d'avoir du doigté pour rapprocher ces caractères sans braquer ni blesser personne. Ne les confrontez pas et procédez en deux temps.

1/ Parlez à tous en réunion pour délivrer un message fort : "Les résultats ne sont pas merveilleux, voilà le plan d'action que j'ai élaboré, j'aimerais que tout le monde s'entraide, c'est vital pour le service".

2/ Voyez en face à face les forte têtes : "Paul, j'ai besoin que tu passes un coup de main à Loïc, parce que tu as une vraie expérience du sujet avec un bel esprit de synthèse". L'idée est de rester positif afin de responsabiliser Paul et non pas de le culpabiliser sur son comportement égoïste ou indifférent.

3/ Faire comprendre à chacun que rien ne sert de "jouer perso" : dès que le collectif s'en sort bien l'individu s'en tire bien aussi alors que l'inverse n'est pas vrai. Cela donnera du sens à vos demandes.

Propulser l’engagement de votre personnel par le travail d’équipe



    « La plupart des gens s’efforcent de passer à travers leur journée. Les gens passionnés s’efforcent d’apprendre de chaque journée »

Si la foi peut soulever les montagnes, la motivation des équipes de travail permet de surclasser tous les concurrents. Les heures passées à notre travail sont plus importantes que celles passées dans notre vie familiale et à nos loisirs. Le plaisir au travail est une source de motivation et de satisfaction primordiale pour assurer la rétention de nos employés.  Dans cet article, découvrez comment motiver votre personnel par le travail d’équipe.Pour réussir aujourd’hui, les entreprises ont bien comprissent qu’il suffit d’avoir des équipes motivées pour aller chercher ce petit quelque chose qui fait toute la différence entre le succès et l’échec.

Les employés engagés ont un rendement supérieur à celui de leurs collègues non engagés. Cet énoncé, qui laissait autrefois sceptique, est maintenant considéré par la majorité comme un fait, grâce à un ensemble croissant de preuves, établies au cours de la dernière décennie, qui valident la relation quantifiable entre l’engagement envers l’organisation et son rendement financier.

Selon les recherches récentes de Towers Watson (Engagement : Puissance trois, 2011), d’autres facteurs jouent aussi un rôle important dans la productivité et les résultats. Lorsqu’une organisation établit un milieu de travail qui combine activement des niveaux élevés d’engagement des employés avec l’habilitation et la stimulation, le rendement a alors plus de chances de grimper considérablement.

Il n’en tient donc qu’à nous en tant que manager, de donner le meilleur de nous-même et de transmettre aux employés, via un style de gestion motivationnelle, la passion et le plaisir au travail.
Ok, mais comment?

J’ai récemment lu un livre qui exprime bien les principes fondamentaux d’un vrai travail d’équipe. Dans son ouvrage romancé « High Five! : The Magic of Working Together » ou en version française « La pilule miracle des leaders », Ken Blanchard, un de mes auteurs préférés, enseigne comment bâtir des succès véritables dans les équipes qui, au départ, présentaient peu de chance de réussite. 

Comment diriger une équipe



Le management est une science complexe et inexacte... Inutile d'appliquer des recettes toutes faites, chaque entreprise est différente. Pour bien diriger une équipe, l'écoute et le dialogue sont les premiers pas essentiels à la réussite.

Avoir des responsabilités, diriger une équipe, prendre des décisions, fixer des objectifs...
Telles sont les ambitions de nombreux jeunes qui entrent sur le marché du travail, notamment dans des secteurs comme la distribution. Pourtant, être manager ne s'improvise pas. Le manager a le sens de la performance pour lui et son équipe. Et rien n'est plus difficile que diriger une équipe. Comment se positionner face aux exigences de l'entreprise ? Quels sont les écueils à éviter ? Y a-t-il des recettes ? Doit-on se remettre en question ?

Une pression très forte sur les épaules du manager

Le poste peut faire rêver, mais il implique beaucoup de responsabilités. Avec une situation économique difficile, l'explosion des coûts et la stagnation de la demande, les entreprises peinent à atteindre leurs objectifs. Conséquence, elles mettent une pression de plus en plus forte sur les épaules des managers (objectifs et performances à tenir). Car c'est lui qui “fait tourner la machine”. Les exigences sont donc de plus en plus élevées, les tâches demandées de plus en plus nombreuses. Il faut donc être solide, ce qui n'est pas donné à tous. Par ailleurs, le manager doit être capable de répercuter cette pression sur son équipe et faire en sorte que tous le monde aille dans le même sens. Un défi de plus en plus difficile actuellement.

Des responsabilités de plus en plus larges

Aujourd'hui, le manager a des responsabilités de plus en plus élargies. Mais le temps reste le même. Ces professionnels sont donc de plus en plus débordés et stressés. Le manager se retrouve souvent seul face à ses défis. Les sollicitations sont constantes, d'où l'importance de savoir déléguer.