Tuesday, June 10, 2014

Quatre conseils pour garder vos employés motivés



DÉVELOPPEMENT DES AFFAIRES - La dure réalité est que la saison des REER pointe à l'horizon et que vous devrez garder vos employés motivés pour assurer le succès de votre développement d'affaires durant cette période.

Et le manque de motivation est un enjeu plus complexe à gérer que la fatigue ou l'ennui de vos employés. La motivation peut faire toute la différence dans la productivité et la rentabilité de votre firme et l'expert en gestion Max Nisen identifie quatre solutions au problème du manque de motivation dans son blogue du Business Insider.

Donnez de la rétroaction régulièrement : les problèmes de motivation émergent souvent quand certains de vos employés et collaborateurs se sentent isolés de l'organisation et de ses dirigeants.

Donner de la rétroaction régulièrement à votre équipe est une solution simple et efficace qui règle souvent ce problème. C'est particulièrement vrai pour les grands projets et les périodes de ventes stratégiques, pendant lesquels vous devez les aider à se concentrer sur ce qu'ils ont accompli et la distance qu'il reste à parcourir pour que les objectifs individuels et corporatifs soient atteints.

Réduisez la taille des projets : réduire les projets ambitieux en plusieurs petits projets prévient souvent le découragement des employés et collaborateurs. De plus, cela permet même d'accélérer sa réalisation. Dans certains cas, vous pouvez également alterner certains employés entre divers projets pour ne pas que la routine et l'ennui s'installent dans leur travail.

Donnez des points et des récompenses : le jeu est toujours une bonne source de motivation. Vous pouvez utiliser le bon vieux truc du concours de vente. Vous pouvez bien sûr lier une partie de la rémunération à l'atteinte des objectifs. Et vous pouvez également utiliser des plateformes numériques comme Rypple pour que vos employés accumulent des points échangeables contre des prix ou des avantages comme des jours de vacances supplémentaires ou même une place de stationnement.

5 grands conseils pour faire de vos objectifs votre réalité



Les objectifs sont un excellent outil de motivation. Mais si vous ne les utilisez pas correctement, ils peuvent aussi être une source de frustration. Alors, comment transformer un objectif en quelque chose d’avantageux pour vous?
Voici cinq techniques pour fixer vos objectifs et les réaliser pour atteindre le succès que vous méritez.

1. Équilibrez vos objectifs

Dans votre vie, vous avez vos objectifs de développement personnel, vos objectifs financiers personnels et vos objectifs pour obtenir toutes sortes de choses matérielles. Ne négligez aucune de ces catégories. Il est normal de vouloir pleins de possessions matérielles mais n’oubliez pas d’équilibrer vos envies avec votre épanouissement, l’amélioration de votre sagesse.
Tous ces objectifs sont importants. Prenez-en conscience et faites en sorte qu’ils entrent dans votre vie, dans votre réalité, dans votre conception de la vie.

2. Planifiez des actions pour atteindre vos objectifs

Vos objectifs ne sont pas de simples tâches sur votre todo-list. Votre but est ce vers quoi vous vous engagez. Planifiez les actions spécifiques qui vous orientent vers vos objectifs. Utilisez vos objectifs comme un guide pour vos actions. Lorsque vous planifiez vos actions de la journée, vous pouvez facilement savoir si elles vont être efficaces. Il suffit de les comparer aux objectifs que vous avez clairement formulés.

3. Partagez vos objectifs

Si vous étiez un archer, garderiez-vous secret votre but : celui de taper dans le mille? Trop de personnes gardent secret leurs objectifs. Partagez vos objectifs avec des gens qui vont vous soutenir et vous encourager.

4. Écrivez vos objectifs

Rendez vos objectifs réels en les écrivant. Copiez vos objectifs sur des feuilles et mettez une copie dans la voiture, une autre dans la salle de bain, dans la cuisine et lisez-les souvent. 

Combien d’heures doit-on travailler pour réussir ?



Comment gérer sa motivation au travail et éviter le stress? Explications de deux coachs spécialistes de la préparation mentale et de l'accompagnement de dirigeants.

Il existe manifestement un décalage entre la perception de ses points forts et leur concrétisation. Quelle que soit la population accompagnée – sportive ou non sportive, les postes en entreprise etc. – le constat est le même et objectivé par le test IP2A, développé par l’Institut de médecine environnementale : pour toutes et tous les motivations profondes sont largement sous-exploitées. La motivation se divise en effet en deux grandes familles : intrinsèque et extrinsèque. La première, centrée sur le plaisir d’agir, permet de générer de l’engagement durable et du sens, et compose notre tempérament. La seconde, socle de notre caractère, est dépendante des résultats, d’ordre culturel et source de démotivation si la réussite n’est pas au rendez-vous. C’est la prédominance de cette motivation extrinsèque, focalisée sur les résultats, qui justifie avec le temps un effritement de la motivation durable et une chute de performance.

Favorisez votre motivation intrinsèque

Pour quelles raisons peut se mettre en place un tel déséquilibre entre ces deux motivations ? Nous sommes dans une culture de la compétition, très concurrentielle et ce depuis l’école. Notre cerveau est d’abord un comparateur et pour le coup, il est malheureusement très bien nourri et conditionné ! Cela finit par générer découragement et frustration, car notre esprit focalise sur l’échec potentiel qui prend une place irrationnelle. En entreprise, manager essentiellement par le résultat n’a pas de sens. Par analogie, ce serait comme jouer au football en regardant uniquement le panneau de scores sans jamais regarder la balle ! En résumé, plus on redoute l’échec, plus on augmente la probabilité de le rencontrer. Et cela se traduit par le stress aux effets bien connus s’il dure : perte d’envie et de confiance, épuisement, conflits, maladies, baisse de productivité etc. 

Expression orale. Prendre la parole en public sans stress



Vous tremblez à l'idée de prendre la parole en public ? Pas de panique : cela s'apprend. Quelques "trucs" pour capter l'attention d'un auditoire.
Sommaire

1 - L'appréhension de l'auditoire

Entre le classique face-à-face avec un client et la prise de parole devant un auditoire fourni, il y a un monde ! " On peut être très à l'aise en expression orale et se retrouver démuni devant un public ", confirme Karine Berthier, une ancienne journaliste devenue consultante en communication au sein du cabinet Escal Consulting.

Si tel est votre cas, pas de panique : prendre la parole en public, cela s'apprend. Éric Mergy, directeur commercial d'Orbis, a ainsi appris à surmonter son stress grâce à des formations : " Dans ma précédente entreprise, tous les commerciaux devaient suivre un séminaire de formation à la prise de parole, explique-t-il. Durant plusieurs jours, chacun s'entraînait à parler devant ses collègues tout en étant filmé. Ensuite, on visionnait ensemble la vidéo, en émettant critiques et autocritiques. " Une méthode extrêmement formatrice, car l'enregistrement est impitoyable : voix, gestes, discours, tout peut être analysé et décrypté.

" C'est un exercice sans concessions, relate Jean-Philippe Lallemand, responsable marketing de la société Mobile Planet et, à ce titre, amené à effectuer des interventions régulières devant des assemblées. J'ai, moi aussi, suivi une formation : nos interventions étaient filmées et se déroulaient en anglais, l'objectif étant de multiplier les difficultés. Les tics de langage ou gestuels deviennent alors évidents. " Autrement dit, en visionnant la vidéo, quelqu'un qui se voit marteler frénétiquement le bureau avec son stylo ou bien qui balance nerveusement son pied remarque immédiatement ces défauts. C'est une étape essentielle, car en prendre conscience permet de les corriger.

2 - Écrire ou ne pas écrire son discours ?

Tous ceux qui ont suivi un stage le reconnaissent volontiers : leurs interventions se sont nettement améliorées. 

Douze règles d'or pour parler en public


Etre à l'aise à l'oral est rarement inné. C'est le fruit d'une préparation rigoureuse, de beaucoup d'entraînement et d'un engagement réel de sa personne... Sans oublier qu'il faut observer quelques règles de base pour retenir l'attention de son auditoire. Les voici. 
 

1. Accordez autant d'importance à la forme qu'au fond 

" Beaucoup considèrent encore que c'est le fond qui est important et la forme, accessoire, remarque Jean-Louis Chenin. Pas du tout ! C'est de l'alliance harmonieuse des deux que dépendra la réussite d'une intervention. " Un discours brillant sur le papier peut très mal passer à l'oral. " Les faits ne parlent pas d'eux-mêmes à l'oral !, insiste le coach. Il est indispensable de mettre ses idées en scène pour qu'elles aient le maximum d'impact sur l'auditoire. " Tout cela nécessite bien sûr un gros travail en amont. Travail sur le fond du discours, puis répétition de son intervention pour maîtriser la forme et verrouillage de l'environnement matériel : ce sont les trois clés d'une intervention réussie.


2. Posez-vous les bonnes questions

Que vous vous exprimiez devant un congrès de 400 personnes ou le jury d'un appel d'offres, commencez par vous poser les bonnes questions. Premièrement : " À qui je m'adresse ? ". Quel est l'état d'esprit du public, quelles sont ses attentes, ses motivations, ses craintes, son niveau d'information ? Deuxièmement : " Quel est l'objectif de mon intervention ? " (ex. : motiver des commerciaux ; vendre mon projet à la DG...). C'est important que ce soit clair pour vous. Troisièmement : " Quelle est ma stratégie pour atteindre mon objectif ? " Sur quels leviers vais-je agir ? (ex. : goût du défi des commerciaux, désir de croissance interne du DG...). C'est capital pour trouver les arguments qui vont percuter. Les réponses à ses questions vont vous permettre de construire votre discours. Qui doit respecter deux impératifs : concision et pédagogie.


3. Soyez concis...