Etre à l'aise à l'oral est rarement inné. C'est le fruit
d'une préparation rigoureuse, de beaucoup d'entraînement et d'un engagement
réel de sa personne... Sans oublier qu'il faut observer quelques règles de base
pour retenir l'attention de son auditoire. Les voici.
1. Accordez autant d'importance à la forme qu'au fond
" Beaucoup considèrent encore que c'est le fond qui est important et la forme, accessoire, remarque Jean-Louis Chenin. Pas du tout ! C'est de l'alliance harmonieuse des deux que dépendra la réussite d'une intervention. " Un discours brillant sur le papier peut très mal passer à l'oral. " Les faits ne parlent pas d'eux-mêmes à l'oral !, insiste le coach. Il est indispensable de mettre ses idées en scène pour qu'elles aient le maximum d'impact sur l'auditoire. " Tout cela nécessite bien sûr un gros travail en amont. Travail sur le fond du discours, puis répétition de son intervention pour maîtriser la forme et verrouillage de l'environnement matériel : ce sont les trois clés d'une intervention réussie.
2. Posez-vous les bonnes questions
Que vous vous exprimiez devant un congrès de 400 personnes ou le jury d'un appel d'offres, commencez par vous poser les bonnes questions. Premièrement : " À qui je m'adresse ? ". Quel est l'état d'esprit du public, quelles sont ses attentes, ses motivations, ses craintes, son niveau d'information ? Deuxièmement : " Quel est l'objectif de mon intervention ? " (ex. : motiver des commerciaux ; vendre mon projet à la DG...). C'est important que ce soit clair pour vous. Troisièmement : " Quelle est ma stratégie pour atteindre mon objectif ? " Sur quels leviers vais-je agir ? (ex. : goût du défi des commerciaux, désir de croissance interne du DG...). C'est capital pour trouver les arguments qui vont percuter. Les réponses à ses questions vont vous permettre de construire votre discours. Qui doit respecter deux impératifs : concision et pédagogie.
3. Soyez concis...
1. Accordez autant d'importance à la forme qu'au fond
" Beaucoup considèrent encore que c'est le fond qui est important et la forme, accessoire, remarque Jean-Louis Chenin. Pas du tout ! C'est de l'alliance harmonieuse des deux que dépendra la réussite d'une intervention. " Un discours brillant sur le papier peut très mal passer à l'oral. " Les faits ne parlent pas d'eux-mêmes à l'oral !, insiste le coach. Il est indispensable de mettre ses idées en scène pour qu'elles aient le maximum d'impact sur l'auditoire. " Tout cela nécessite bien sûr un gros travail en amont. Travail sur le fond du discours, puis répétition de son intervention pour maîtriser la forme et verrouillage de l'environnement matériel : ce sont les trois clés d'une intervention réussie.
2. Posez-vous les bonnes questions
Que vous vous exprimiez devant un congrès de 400 personnes ou le jury d'un appel d'offres, commencez par vous poser les bonnes questions. Premièrement : " À qui je m'adresse ? ". Quel est l'état d'esprit du public, quelles sont ses attentes, ses motivations, ses craintes, son niveau d'information ? Deuxièmement : " Quel est l'objectif de mon intervention ? " (ex. : motiver des commerciaux ; vendre mon projet à la DG...). C'est important que ce soit clair pour vous. Troisièmement : " Quelle est ma stratégie pour atteindre mon objectif ? " Sur quels leviers vais-je agir ? (ex. : goût du défi des commerciaux, désir de croissance interne du DG...). C'est capital pour trouver les arguments qui vont percuter. Les réponses à ses questions vont vous permettre de construire votre discours. Qui doit respecter deux impératifs : concision et pédagogie.
3. Soyez concis...