L’art de "bien vivre", d’être heureux et à l’aise dans son
corps comme dans son esprit est un, voire le sujet prioritaire des blogs et
autres sources d’informations axées sur le développement personnel.
On trouve d’ailleurs un peu de tout et surtout n’importe
quoi lorsqu’on tente de définir le bonheur.
Pourquoi être aussi critique me demanderez-vous ?
Et bien la raison en est simple : être heureux n’a pas la
même signification pour tous.
Nos objectifs, nos besoins, nos désirs et notre degré
d’appréciation d’un même facteur diffèrent.
Comment pourrait-on alors donner une définition structurée
et précise d’un élément pour lequel on se bat toute sa vie, mais qu’on peine
toujours à identifier quand il se présente ?
Et si le bonheur était en réalité un gros mot, un panier
dans lequel on fourre tout ce qui ressemble de près ou de loin à des émotions positives ?
Voilà qui m’amène donc aujourd’hui à réfléchir sur la portée
même de ce qu’être heureux implique…
1. Être heureux en construisant un état d’esprit conciliant
Étant donnée la réelle difficulté qui réside dans la mise à
jour d’une définition objective du bonheur, me voici en quête d’éléments qui
pourraient, selon moi, vous amener vers un apaisement psychologique quotidien
et durable.
Parmi ces premiers facteurs permettant de "vivre heureux",
votre interprétation des éléments extérieurs semble être l’un des plus
importants.
Là où la grisaille, le mécontentement et la contradiction
sont traditionnellement de mise, pourquoi ne pas essayer de cultiver votre
optimisme ?
J’ai déjà partagé cette réflexion dans un autre article,
mais il m’apparaît utile de souligner ici que votre état psychologique se
construit et évolue selon les interactions que vous développez avec votre
environnement.
Il ne serait donc pas totalement dénué de sens de postuler
qu’en décidant simplement "d’être heureux aujourd’hui", votre journée se
déroule effectivement de la meilleure des manières.