Tuesday, June 10, 2014

Être heureux, utopie ou réel choix de vie?



L’art de "bien vivre", d’être heureux et à l’aise dans son corps comme dans son esprit est un, voire le sujet prioritaire des blogs et autres sources d’informations axées sur le développement personnel.

On trouve d’ailleurs un peu de tout et surtout n’importe quoi lorsqu’on tente de définir le bonheur.

Pourquoi être aussi critique me demanderez-vous ?

Et bien la raison en est simple : être heureux n’a pas la même signification pour tous.

Nos objectifs, nos besoins, nos désirs et notre degré d’appréciation d’un même facteur diffèrent.

Comment pourrait-on alors donner une définition structurée et précise d’un élément pour lequel on se bat toute sa vie, mais qu’on peine toujours à identifier quand il se présente ?

Et si le bonheur était en réalité un gros mot, un panier dans lequel on fourre tout ce qui ressemble de près ou de loin à des émotions positives ?

Voilà qui m’amène donc aujourd’hui à réfléchir sur la portée même de ce qu’être heureux implique…

1. Être heureux en construisant un état d’esprit conciliant

Étant donnée la réelle difficulté qui réside dans la mise à jour d’une définition objective du bonheur, me voici en quête d’éléments qui pourraient, selon moi, vous amener vers un apaisement psychologique quotidien et durable.

Parmi ces premiers facteurs permettant de "vivre heureux", votre interprétation des éléments extérieurs semble être l’un des plus importants.

Là où la grisaille, le mécontentement et la contradiction sont traditionnellement de mise, pourquoi ne pas essayer de cultiver votre optimisme ?

J’ai déjà partagé cette réflexion dans un autre article, mais il m’apparaît utile de souligner ici que votre état psychologique se construit et évolue selon les interactions que vous développez avec votre environnement.

Il ne serait donc pas totalement dénué de sens de postuler qu’en décidant simplement "d’être heureux aujourd’hui", votre journée se déroule effectivement de la meilleure des manières.