Friday, October 26, 2012

Tout dirigeant doit apprendre à bien s'entourer

«Pour devenir un bon dirigeant, il faut savoir passer de l'homme-orchestre au chef d'orchestre», affirme Claudine Blackburn. «L'environnement externe est rendu trop complexe pour pouvoir diriger une organisation seul», renchérit Sylvain Tétreault. Voilà comment les deux fondateurs de la firme spécialisée en ressources humaines et en développement des gestionnaires Blackburn Tétreault&Associés résument l'essentiel de leur plus récent ouvrage intitulé Le dirigeant et son équipe de gestionnaires.

«Un dirigeant est responsable de définir la vision, la mission et les valeurs de l'organisation, affirme M. Tétreault. Ensuite, il établit des objectifs stratégiques, mais ce n'est pas à lui de définir les moyens de les atteindre. Pour le faire, il doit pouvoir s'entourer de gestionnaires complémentaires qui uniront leurs forces et leurs faiblesses dans un objectif commun.»

Il affirme que pour arriver à composer une équipe compétente de gestionnaires, la clé est de savoir évaluer les gens sans complaisance.

«Il faut d'abord s'évaluer soi-même comme dirigeant, précise M. Tétreault. Il faut trouver ses forces et ses faiblesses, et faire le même exercice avec les autres gens de l'équipe. Il faut regarder autant le savoir-faire que le savoir-être.»

Claudine Blackburn affirme que le dirigeant doit ensuite abandonner certaines responsabilités. Sans toutefois complètement lâcher la bride.

«Même si on délègue à des personnes compétentes, il faut savoir que 80% des gens ont besoin de supervision», précise la conseillère d'orientation de formation.

L'efficacité organisationnelle

Après avoir délégué les tâches, évaluer la performance et l'efficacité organisationnelle est un incontournable aux yeux des auteurs.

«On pense souvent que la performance signifie travailler beaucoup, remarque Sylvain Tétreault. Mais ce n'est pas ça. Être performant signifie travailler de la bonne façon. Peu de dirigeants mesurent la performance de leurs employés. Pourtant, avec la mondialisation et la marge de profit qui est moins grande qu'avant, il faut le faire.»

Il affirme qu'on peut y arriver simplement. Il donne l'exemple d'un répartiteur dans une entreprise de camionnage.

5 attitudes à adopter pour développer votre leadership

Tout le monde peu développer des ses aptitudes au leadership et, comme pour de nombreux autres « talents », devenir un leader repose bien plus sur l’entrainement et la mise en place de bonnes pratiques, que sur des qualités innées.

 » S’exercer pour développer son leadership, d’accord mais comment s’y prendre ? »

C’est ce que nous allons voir dès-à-présent grâce à 5 attitudes que je vous conseille de développer si jamais vous souhaitez réveiller le leader qui est en vous :


Soyez proactif !

L’un des points les plus importants. Plus important encore que d’éviter tout comportement passif, vous devez également initier de vous même une véritable dynamique et savoir initier un changement dès que cela devient nécessaire. Être proactif vous demandera également de développer vos capacités d’anticipation afin de pouvoir résoudre un quelconque problème avant même qu’il ne se manifeste.


Assumez vos responsabilités

Être proactif implique d’importantes prises de décisions et par conséquent une exposition aux risques bien plus élevée. C’est à ce stade là que l’on peut reconnaître un vrai leader car celui-ci assumera pleinement la responsabilité de ses choix plutôt que de se cacher derrière une quelconque excuse ou pire, se servir de boucliers humains. Être responsable demande véritablement du courage, qualité essentielle au leadership.
Améliorez vos compétences et votre savoir

Pour devenir un véritable leader, vous devez avoir une longueur d’avance sur tout le monde. Rester figé sur vos compétences, même si elles sont élevés n’est pas suffisant pour faire une différence sur le long-terme. Voilà pourquoi, vous devez sans cesse développer vos connaissances et affiner votre expertise sur les sujets relatifs à votre activité.


Motivez les autres

10 clés du manager motivant

Manager, c’est aussi créer une relation avec son équipe pour favoriser la motivation. David Lefrançois, psycho-sociologue, coach et fondateur de Coach Up Institut a étudié les points essentiels à une bonne motivation. Il en a tiré 10 clés qui aident à renforcer la motivation, en management comme en coaching. Ces clés concernent toutes notre attitude avec l’autre ; elles nous parlent de notre pouvoir à favoriser, ou altérer, la motivation d’autrui. Je vous propose d’aborder ces 10 clés dans le contexte du management, et d’en faire ici 10 clés de la relation managériale.

1 – Validation : accepter l’autre

La validation consiste à accepter inconditionnellement la personne que l’on souhaite coacher, manager, accompagner ou éduquer. L’accepter avec ses défauts comme ses qualités et croire en ses capacités sont des pré-requis, d’après David Lefrançois, qui dit qu’il voit ses clients en coaching comme « des diamants enveloppés de papier journal ».

2 – Responsabilisation

Responsabiliser la personne, c’est la considérer autonome et agir dans cet esprit : lui laisser faire son travail, éviter le micro-management, faire confiance et n’intervenir que si nécessaire.
Cela implique de croire en la capacité de la personne à réussir et trouver des solutions par elle-même.

La motivation passe par le sentiment d’être responsable et capable, qui est influencé par la responsabilisation ; c’est la raison pour laquelle les managers de style trop directifs ont un effet démotivant sur leur équipe.

Cinq erreurs à éviter lors d'une présentation technique

    La présentation technique est l'une des formes de discours les plus courantes. Elle se penche généralement sur un sujet et offre de nouvelles perspectives, informations ou solutions.

    Bien que ce soit sa principale raison d'être, le simple contenu d'une présentation technique est souvent insuffisant pour maintenir l'intérêt d'un auditoire. Cet article présente cinq erreurs à éviter afin de livrer une présentation technique efficace.

Lorsque l'on vous dit que vous devez assister à une présentation technique, quelle est la première image qui vous vient en tête? Est-ce que vous imaginez assister à une parade de chiffres, de statistiques et de données? Est-ce que vous imaginez une série interminable de diapositives PowerPoint ennuyeuses et souvent illisibles?

Malheureusement, c'est souvent le cas. De même, ce sont souvent les mêmes erreurs qui se répètent d'une présentation à l'autre.

Si vous êtes appelé à faire une présentation, vous pouvez vous démarquer de la majorité des autres orateurs en évitant de commettre ces mêmes erreurs. Voici cinq erreurs à éviter lorsque vous aurez à faire votre prochaine présentation technique.

    Attirer l'attention sur votre malaise: « Je suis désolé, je n'ai pas l'habitude de faire des présentations. »

    « J'ai appris à la dernière minute que je devais faire cette présentation et je n'ai pas eu beaucoup de temps de préparation. »

    « Je ne sais pas vraiment quoi vous dire aujourd'hui. »

    Trop souvent, un orateur inexpérimenté utilisera l'une de ces phrases (ou une variation de ces phrases) pour commencer sa présentation. En général, l'orateur le fera afin de s'excuser et d'implorer la clémence de l'auditoire. De plus, chaque fois qu'il fait une erreur pendant son discours, il s'excusera encore et fournira une excuse. C'est une erreur.

    L'auditoire se rendra bien compte tout seul que vous n'êtes pas prêt ou que vous êtes mal à l'aise. Lorsque vous mentionnez le fait à répétition, vous ne faites qu'inciter l'auditoire à y porter encore plus d'attention.

    Comment contourner ce problème? Quelques trucs possibles: préparez-vous le plus tôt possible; faites une blague lorsque vous faites une erreur; faites-vous confiance lorsque vous vous adressez au groupe; refusez de faire la présentation sans un temps de préparation adéquat.

    Oublier l'auditoire

Les conseils pour motiver les salariés d'une entreprise

Travailler dans un cadre agréable

Les conseils pour motiver les salariés d'une entreprise 
 
Pour la motivation des équipes, il est toujours préférable de travailler dans un environnement structuré, stable et prévisible. Il vous faudra donc travailler :
  • la qualité des relations humaines et l’échange,
  • favoriser le climat de collaboration dans le groupe,
  • motiver les collaborateurs,
  • accroître leur capacité à travailler en équipe,
  • valoriser les potentiels de chacun tout en sortant du contexte professionnel, autour d’activités ludiques ou culturelles.

Pas de stress

Privilégiez un cadre de travail sans stress ni fatigue excessive qui permettra à vos employés de garder de l'énergie pour leur vie hors du travail.

Travailler dans un contexte où les règles du jeu sont claires et bien définies

Les règles du jeu doivent être définies dès le départ. La rémunération croissante et un management par objectifs peuvent être de très bons leviers de motivation, mais doivent être définis avec le salarié dès le départ.

Avoir une idée claire de ses missions, des objectifs et des valeurs de l'entreprise

Il est nécessaire que vous expliquiez les projets, les valeurs, la place de l'équipe dans l'ensemble. S'assurer qu'il a bien trouvé sa place et est apprécié et intégré au groupe.

Cohésion de l’équipe

Sunday, October 14, 2012

Cinq conseils pour bien encadrer une équipe

A peine quelques mois que vous venez d’intégrer cette entreprise et déjà vous avez sous votre autorité  cinq personnes. Comment gérer et motiver votre toute nouvelle équipe ? Quelles sont ces erreurs qu’il faut à tout prix éviter ? Suivez les conseils de Catherine Dubois, coach chez Babel Consulting.  

1) Bien choisir son équipe

Voici un préalable : si vous avez la possibilité de constituer vous-même votre équipe, veillez à choisir des personnes qui sont aptes à travailler en groupe  et qui  partagent des valeurs communes. Il est important de s’associer avec des personnes de confiance ayant des visions du travail identiques, les mêmes objectifs personnels et professionnels. Car la cohésion et l’efficacité  de votre équipe en dépend.

2) Définir des règles

Un chef d’équipe doit avoir établi des règles de fonctionnement que chacun a entendu et accepté. Pas de règles pour les uns qui ne s’appliqueraient pas à d’autres. Définir les rôles de chacun est également indispensable pour garantir la cohérence du travail et permettre la réalisation d’une mission commune. Chaque personne doit avoir une spécificité reconnue et complémentaire par rapport  aux autres membres de l’équipe.

3) Communiquer régulièrement

Communiquez au sein de votre équipe régulièrement et de manière collégiale pour éviter les oublis ou les interprétations. Tout le monde doit disposer de la même information en provenance d’une unique source : vous. Et c’est aussi vous le référent pour les clients, le garant du bon fonctionnement de l’organisation telle qu’elle a été définie.

4) Motiver son équipe

Comment ? En les écoutant, les accompagnants, les congratulant régulièrement. Essayez de consacrer un peu de temps au suivi des projets de chacun et proposez votre aide au besoin. Penchez-vous sur votre propre niveau de motivation : un manager démotivé est bien souvent un manager démotivant. Pour galvaniser vos troupes, n’hésitez pas à impulser de nouvelles idées, proposer des projets novateurs ou lancer des défis avec une récompense à la clé (prime, journée de repos, soirée). Soyez également attentif à l’ambiance de votre équipe en agissant sur les éventuels conflits.

5) Résoudre les conflits

Techniques pour améliorer votre auto-motivation

Même si vous êtes une personne motivée, en général, à certains moments, vous avez de la difficulté à travailler sur une tâche importante. C'est là que les techniques de motivation personnelle viennent à votre rescousse.

Bien qu'il existe de nombreuses façons d'améliorer votre motivation personnelle, seuls quelques-uns sont très utiles. L’auto motivation est le moyen le plus efficace d'améliorer et de développer votre confiance et l'estime de soi. Plus de vous donner la force pour atteindre vos objectifs, il se traduit par un changement dans votre personnalité et de caractère ainsi.

L’auto motivation est nécessaire dans tous les aspects de la vie, que ce soit de carrière, la vie sociale, les relations, la santé, la spiritualité ou le développement de la personnalité.

Lisez la suite pour découvrir quelques secrets de la motivation personnelle qui peut vous aider à atteindre vos objectifs et les tâches d'une manière plus efficace.

Secrets de l’auto motivation

Définir des objectifs


Une erreur majeure apportée par la plupart des gens est qu'ils fixent leurs objectifs que dans "l'esprit". Et quoi que ce soit d'esprit s'avère être hors de vue. Par conséquent, prenez note de tous les objectifs que vous avez l'intention de réaliser, avant de dormir dans un bloc-notes ou un papier et le placer juste en face de vous. Chaque matin quand tu te réveilles, un regard sur le bloc-notes va vous rappeler les objectifs. En outre, faire des objectifs réalistes qui peuvent être atteints. Sans but dans la vie, c'est comme démarrer une entreprise sans avoir un capital à investir.

Rester concentré


Un autre problème avec la plupart des gens, c'est qu'ils sont influencés facilement par d'autres personnes. Souvent, les gens essaient de vous détourner de votre objectif, en créant ainsi les mauvais sentiments qui ne valent rien et de détritus. Comme le dicton populaire dit: «Ne te fâche pas, se venger». Ainsi, prendre ces mauvais sentiments comme un défi et faire des efforts pour les réduire. Chaque fois que vous vous sentez que quelqu'un essaie de vous tirer en arrière, travailler deux fois plus dur et leur prouver le contraire.

Ne tardez pas


Une fois que vous avez fixé des objectifs pour vous-même, ne faites pas des excuses pour les retarder, sinon vous ne serez jamais en mesure de les atteindre. Ne laissez jamais les atermoiements viennent à votre façon d'accomplir les tâches. La meilleure façon de garder votre auto motivation est de commencer à travailler sur les objectifs immédiatement. Décomposer les buts en petits morceaux pour les rendre facilement réalisable.

Partagez vos objectifs


Parler en public : 7 conseils améliorer votre gestuelle en public

Conférences, présentations, animations de réunions, formations… l’entrepreneur est particulièrement amené à parler en public. Ce qui est frustrant, c’est qu’on stresse au regarde ce que l’on va dire. Et lorsqu’on fait sa présentation ou son discours, on se rend compte que l’auditoire fait autant, voire plus attention à la gestuelle ! La problématique est donc de savoir comment prendre de bonnes gestuelles lorsqu’on est amené à parler en public. Les connaître à l’avance, c’est les intégrer bien en amont. Cela aide à déstresser avant de se jeter à l’eau sans ressembler à une étoile de mer qui s’accroche à le première pierre.
Comment améliorer sa gestuelle lorsqu’on parle en public ? Comment capter et retenir l’attention de l’auditoire lorsqu’on parle ?
Ce dossier vous propose 7 conseils pour améliorer vos gestes en public.

Ne pas préméditer un geste

Quand on prémédite et qu’on répète à l’avance des gestes, et qu’on les insère à des moments “opportuns” pendant qu’on parle, on ressemble à des robots. On manque de spontanéité parce ce geste prémédité se retrouve en décalage avec le reste.

Est-ce qu’on planifie ses gestes lorsqu’on discute avec une seule personne ? La réponse est bien évidemment non : on laisse les gestes venir par eux-mêmes, de manière spontanée. Lorsqu’on parle en public, c’est pareil : la spontanéité en public est plus percutante et appréciée par les auditeurs.

Supprimer les gestes gênants et “parasites” avec la vidéo

Si vous disposez d’un caméscope, d’un appareil photo numériques ou d’une webcam, c’est une excellente approche de vous enregistrer en train de parler… comme si vous y étiez. Si vous avez déjà parlé pendant une présentation filmée, c’est encore mieux de la regarder car vous êtes vraiment en situation.

Le visionnage aide à éliminer tous les petits gestes superflus, “parasites”, dont on ne se rend pas forcément compte lorsqu’on parle en public. L’intérêt est que la vidéo ne ment pas : ces petits gestes gênants et superflus sont immédiatement repérables, qu’ils soient répétitifs ou non.

Utiliser des gestes et mimiques appropriés… à soi

Nous sommes inondés d’images montrant des animateurs, des présentateurs et des communicants dont les gestes sont simplement captivants.

Nicolas Sarkozy est ainsi très remarqué (et caricaturé) pour ses gestes. Si vous suivez Ségolène Royal, vous avez peut-être remarqué qu’elle a fait de grands efforts dans ce domaine depuis l’élection présidentielle de 2007 (elle partait de loin). On pense aussi à de grands présentateurs de télévision comme Thierry Ardisson ou Christophe Dechavanne qui ont des mimiques très marquées.

Quelle que soit la personne dont on apprécie les gestes en public, on se dit : Si cela marche pour elle ou pour lui, je vais adopter ce modèle“.

Thursday, October 4, 2012

[VIDEO] Comment TED est en train de changer le monde avec ses Talks


Se motiver et motiver ses équipes durant les périodes de crise

Avec la crise, difficile, pour beaucoup de chefs d'entreprise et de managers, d'aborder cette rentrée avec sérénité. Comment se mobiliser et donc mobiliser ses équipes en période d'incertitude économique ? Quelques pistes...

La crise, tout le monde en parle ! Ce qui la rend plus proche, plus plausible et … plus certaine ! Cette dimension émotionnelle la rend redoutable : elle brouille les cartes et les esprits.

Perte de repères, indécision, peur, incertitude, c’est un voile opaque qui surgit devant l’entreprise, l’empêchant de se projeter. Dès lors, le mal qui guette le dirigeant, n’est-ce pas l’immobilisme, l’attentisme et ses corollaires : perte de confiance, défiance, doute, remise en cause, absentéisme ? Mettre l’entreprise en mouvement, créer une dynamique est donc impératif.


Une seule réaction : l’action !

Et le dirigeant veut faire face. Il s’affaire, veut tout faire. Cette hyperactivité, pense-t-il, aura un effet d’entraînement. Il doit montrer l’exemple. Mais rien ne se passe. Plus il s’agite moins il s’explique. Il n’en a pas le temps, il s’est investi d’une mission envers et contre tout et tous. Seulement, la motivation ne se crée pas, tout au plus peut-on créer les conditions propices au développement de celle-ci.
Que faire alors ? Entraîner ses équipes à se projeter dans 2 scenarii :

    1. A quoi ressemblerait l’entreprise la moins préparée à la crise ?

L’objectif est de faire prendre conscience à l’équipe que sa société détient des atouts parfois uniques pour surmonter la crise.
Pour cela, l’équipe doit imaginer une entreprise du marché qui serait la moins bien préparée à la crise. Où est-elle située, quand a-t-elle été créée, quelle est sa taille, sa clientèle, son positionnement… ? L’équipe identifie les faiblesses qu’il leur faut absolument combattre. Elle mesure l’écart existant entre une véritable situation critique et la sienne et identifie sa marge de confort, de sécurité. Par là même, toute l’équipe renforce sa cohésion en retraçant le chemin parcouru et, surtout, garde confiance dans sa capacité à résister.

    2. A quoi ressemblerait l’entreprise la mieux préparée à la crise ?

Cette fois, l’objectif est de réfléchir à ce qu’un concurrent ferait pour améliorer ses positions. L’équipe va se mobiliser contre l’ennemi clairement identifié, lui « déclarer la guerre ». Les freins historiques sautent. Il n’y a plus de verrous psychologiques bridant la créativité car c’est du concurrent qu’il s’agit. Souvent, les sceptiques sont les plus prolixes : leur souci de justifier leur pessimisme les amène à trouver nombre de menaces concurrentielles constituant autant d’opportunités. Là encore, l’équipe en sort plus forte car c’est dans l’adversité que les liens se resserrent.


Au travers de ces deux exercices, la crise est toujours présente mais la façon de la percevoir a changé. La confiance retrouvée permet à tous de s’ancrer dans le présent pour agir. Pas sous les traits évanescents, vaporeux, insaisissables de la crise mais sous ceux, matérialisés, d’un concurrent bien identifié.


De l’immobilisme vers le mouvement et la communication

Réflexion sur le positionnement stratégique, refonte de la gamme de produits ou de services… en quoi ces projets à trois ans vont-ils aider l’entreprise à créer une dynamique dès maintenant ? Il importe, pour le dirigeant, de faire le tri dans les projets en cours, d’en temporiser certains et de dégager des ressources pour les nouveaux.


Le faire, c’est bien. Le faire savoir c’est mieux

Les secrets d'art oratoire - Suivez ces 10 conseils

 Est-il rien de plus effrayant que face à un auditoire d'étrangers et en sachant que vous avez à prononcer un discours divertissant et informatif?

OK, certains prospèrent sur ce type de défi! Mais la grande majorité d'entre nous sont au moins un peu nerveux à chaque fois que nous avons à parler publiquement. En fait, la peur de parler en public est probablement l'une des craintes les plus universel dans tous les milieux de vie.

Heureusement, la parole en public est une crainte qui peut être facilement surmonté avec un peu de pratique et la bonne approche. Vous pouvez utiliser les conseils ci-dessous pour améliorer votre aptitude à parler en public.

1. Soyez prêt et pratique.

Plus vous en savez ce que vous voulez dire, plus vous aurez à lui. Tout d'abord, un remue-méninges au sujet de votre discours et de la recherche, si vous avez besoin. Écrivez tous les points que vous voulez faire et ensuite les organiser dans un contour. Remplissez les détails. Une fois que vous avez le contenu essentiel de votre discours écrit (au moins dans votre tête), le transfert de vos principales idées de fiches. Ecrire l'idée principale à l'encre noire sur le front de la carte, et si vous pensez que vous aurez besoin de repères, écrivez-les sur le dos de la carte au crayon. Ensuite, la pratique de votre discours à voix haute au moins 3 à 5 fois. Si vous le pouvez, il est de pratique devant un ami ou un membre de leur famille et leur demander des commentaires et si ce n'est pas possible, au moins pratique devant un miroir. Faites-le jusqu'à ce que vous pouvez parler naturellement, avec seulement un coup d'oeil à vos cartes. Ne jamais lu votre discours mot à mot!

2. Connaissez votre auditoire.

Mieux vous connaissez votre auditoire, le plus il sera facile de se connecter à eux que vous parlez. Lorsque vous êtes en mesure de faire ce lien, vous allez retenir leur attention. Et voyant que vous faites ainsi augmentera votre confiance et votre niveau de confort, ce qui rend encore plus facile pour vous de bien parler. Alors, trouvez tout ce que vous pouvez sur les gens que vous allez parler à. Sachez ce que leurs «sujets chauds» sont, à l'intérieur des blagues et ainsi de suite. Plus vous en savez sur ce qui les fait vibrer et ce qui les intéresse, le discours de mieux vous serez en mesure de donner.

3. La robe de la partie.

Lorsque vous êtes debout devant un auditoire, tous les yeux sont sur toi. Qu'on le veuille ou non, votre image est importante dans cette situation. Ainsi, s'habiller pour impressionner ce public particulier. Si vous connaissez votre auditoire bien (voir n ° 2), alors vous aurez une idée de la façon de s'habiller. Par exemple, tu pourrais m'habiller en costume bleu marine conservateur si vous parlez à un groupe de banquiers, mais d'une manière plus décontractée, tenue de la mode quand le public se compose d'artistes et designers.

4. Prêtez attention au vieux principe KISS, qui est, Keep It Short and Simple.

La clé est d'obtenir vos points entre le plus rapidement possible. Ne tournez pas autour du pot ou essayer d'impressionner avec des métaphores complexes. Histoires, cependant, peut être un puissant outil de parole en public, surtout quand elles contiennent au moins une pointe d'humour. Mais, là encore, gardez-les courts et sur ce point. Messages plus courts donnent l'impression d'une clientèle branchée et conférencier à puce. Ils sont aussi plus facile pour votre auditoire se souvienne.

5. Parlez clairement et à juste le bon tempo.

La marque d'une expérience, un orateur public mal à l'aise, c'est quelqu'un qui parle toutes dans une course, à articuler les mots, dans son désir d'en finir avec. Ne soyez pas ce type de haut-parleur si vous voulez retenir l'attention de votre auditoire....

Comment motiver vos employés ou collaborateurs?

Si vous êtes patron, un de vos plus grands défis dans les prochaines années sera non seulement de recruter des employés de talent mais bien de les conserver. Si vous êtes un employé, cet article vous sera utile un jour lorsque vous serez enposition de leadership. Comment faire afin de retenir les meilleurs éléments de votre équipe ? Contrairement à  la croyance populaire, le salaire est loin d’être le seul facteur de motivation de vos collaborateurs. Vous trouverez donc ci-dessous 15 suggestions qui augmenteront significativement la performance de vos troupes et qui feront en sorte que vos employés ne voudront jamais vous quitter.
1. Donnez à  vos employés un travail qu’ils aiment faire
Il n’y a pas de mauvaises personnes. Il y a seulement des personnes à  la mauvaise place. Pour être motivé dans son travail, on doit avoir le goût d’aller travailler le matin.
2. Offrez des opportunités d’avancement
De la même façon que vous voulez faire croître votre entreprise, vos employés veulent croître également. Un employé qui n’a aucun espoir d’avancement sera démotivé.
3. Donnez-leur beaucoup de formation
Découvrez leurs besoins et offrez-leur des programmes de formation à  l’interne. Offrez-leur également la possibilité de se faire payer des séminaires de formation à  l’externe.
4. Donnez à  vos employés de l’autonomie et de la liberté
Les gens veulent de plus en plus un équilibre entre leurs vies personnelle et professionnelle. Offrez des heures de travail flexibles et/ou permettez-leur de travailler à  partir de la maison. N’évaluez que les résultats obtenus et non la façon de faire.